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2 novembre 2010

L'invité

mar


Je sais l’excitation qui était la tienne quand on a sonné à la porte…C’est la mienne aussi, car il était là, notre invité ! Il arrivait une bouteille à la main, selon les conventions sociales et nous lui avons servit l’apéritif en parlant de choses et d’autres, de ces banalités sur notre logement, le quartier, le paysage…Il a l’air gêné, pourtant nous savions bien tous les trois pourquoi il venait. J’ai compris que c’était un novice et lui laisse le temps de se détendre. Je m’amuse à constater qu’il te dévore des yeux tout en sirotant son whisky.

Tu es à son goût, petite femme potelée aux yeux en amande, à la forte poitrine. Je t’ai demandé de porter une de tes guêpières au décolleté généreux, et du coup le pauvre ( ?) manque d’avaler ses chips de travers lorsqu’en remplissant son verre, tu te penches vers lui… bien sûr tu le fais exprès, n’est-ce pas ? Je t’ai aussi imposé une jupe plus courte que celles très sages que tu portes d’habitude : « Nooonn ! J’ai des grosses cuisses ! » Tu n’as pas de grosses cuisses, et je voulais que tu les découvres un peu, gainées dans leurs bas noirs. Tu ne portes pas de hauts talons à la maison habituellement bien sûr, mais aujourd’hui, je veux que tu sois encore plus affriolante pour notre invité. Que tu le rendes fou de désir…C’est sans doute en grande partie réussi, sauf que malgré son intérêt manifeste, il continue à tourner autour du pot (si j’ose dire !) et il est sur le point aborder les rapports du foot et de la politique quand je décide de précipiter les choses. Alors que tu allais débarrasser les verres je te fais pencher en avant, ton buste posé sur la table. Je retrousse ta jupe dans ton dos, et selon mes consignes, tu ne portes rien en dessous…

securedownload_1_Comme j’aime t’exhiber ! Particulièrement tes superbes fesses. Tu aimes aussi ce genre de situation, tu es fière que je veuille te montrer, toi mon amante, tes charmes et aussi ton audace…Il ne s’agit pas de perversité mais de cette complicité magique entre nous ! Alors que notre invité prend l’allure du loup de Tex Avery, (je m’attends à voir ses yeux quitter leurs orbites et sa mâchoire tomber sur le sol) tu cambres tes reins pour t’exposer plus.

—Tu ne le trouves pas qu’elle a un cul magnifique ?

Il murmure « oui » pendant que je l’incite à le caresser comme moi, à en apprécier le grain de peau, la fermeté, d’en suivre le sillon…Mais c’est qu’il prend vite de l’audace ! Et quand on a commencé à tripoter ton fessier, il est bien dur de s’arrêter…Je vais lui laisser le terrain libre. Pendant qu’il s’enhardit à explorer ta pleine lune, j’enfonce deux doigts dans ton intimité et les ressors luisants.

— Tu vois comme elle mouille ? Tu veux faire pareil ? Oui, vas-y, bouge tes doigts dans sa chatte, branle-là comme ça…

Tu exprimes ta satisfaction par des râles de plus en plus profonds et par le mouvement de ton bassin…Tu frottes ton bouton sur la nappe rugueuse et je sais que tu y laisseras une tâche. J’ai fait le tour de la table pour venir t’embrasser, je me perds dans ton décolleté…Quand je sens ton plaisir passer au stade supérieur, je reviens vers tes fesses et je les claque en cadence, tandis que l’invité accélère le rythme dans ta fleur…Tu jouis ! Je sais ce qu’il ressent, pour l’avoir souvent vécu : ton vagin se contracte, serre ses phalanges comme une main humide, une fois, deux, trois fois…

Tu te redresse : ton cul est écarlate et je remarque aussi la rougeur qui, étrangement, apparait sur ta poitrine quand tu viens de jouir…Á celui qui connait ce détail, tu ne peux pas cacher tes orgasmes récents ! Tu es-momentanément-satisfaite et nous, on va devoir se calmer, malgré les bosses qui déforment nos pantalons…Il faut garder le meilleur pour le dessert ! Cependant, histoire d’entretenir un certain trouble, je fais tomber ta jupe à tes pieds…

— Tu vas nous servir à table le cul à l’air !

Je te serre contre moi, nos langues se rencontrent, je dégage un peu tes seins pour en faire surgir les pointes hors de leurs corbeilles. Tu pars vers la cuisine, très à l’aise, en balançant ton cul nu et vermeil qui surmonte tes bas noirs, ornés de fleurs rouges à la jarretière…J’aimerais, et tu aimerais, qu’un voisin t’aperçoive par une fenêtre…

Le repas se passe normalement, comme n’importe quel repas où nous aurions reçu, si ce n’est ta demi-nudité provocante. Et l’invité en question s’est renfermé dans sa réserve. Quand tu amènes le melon coupé en tranches pour le dessert, le moment est venu de repasser à l’action. Je te demande de t’assoir, cuisses grandes ouvertes, sur la table, et plonge mes bouts de melons dans ta fente…Je les déguste après, le jus de ta chatte mélangé à celui du fruit…Connais-t-on meilleure saveur ? Mais au lieu de nous rafraichir il fait encore monter la température. Je bande à nouveau et lui aussi, bien sûr ! Je l’invite à venir s’assoir dans le canapé et tendrement, mais avec autorité (ça t’excite !) je te fais mettre à genoux devant lui.

Tu ouvres sa braguette et en sort son braquemart bien raide que tu lèches comme un gros sucre d’orge. Que ce soit la mienne ou une autre, je suis toujours bouleversé de te voir passer ta langue sur toute la longueur d’une queue, en titiller le frein, la base, et enfin l’engloutir toute entière, te lancer dans un lent mouvement de vas et viens…

L’invité s’abandonne, ferme les yeux (alors que moi je me repais du spectacle !) et te caresse doucement la tête…Je m’agenouille derrière toi. Ma main gauche vient flatter ton clitoris, déjà dur comme du bois. J’ai humecté de salive les doigts de la droite, et j’en introduis un dans ton trou étoilé, puis un deuxième, et les remue, je te masturbe par des deux entrées. Rapidement, toi qui es si bonne suceuse, tu perds tes moyens, ouvre ta bouche pour gémir au lieu de la resserrer…Mais tant mieux ! Je te donne un préservatif déballé, ce qui signifie qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Ta bouche relâche l’invité, tu le coiffes du capuchon de latex et en lui sautant quasiment dessus, tu t’empales avec un cri rauque sur le membre dressé…

Il a libéré complètement tes seins de la guêpière et saisi ton 100 D à pleine mains…Il tente de t’embrasser mais tu refuses : il a le droit de te baiser tant qu’il veut, mais les gestes amoureux me sont réservés ! À moi de jouer. Pendant que tu le chevauches plus vigoureusement, j’écarte tes fesses et doucement, je te pénètre de recto…Tu es écrasée entre nous, transpercée de part en part. Je me retire un peu pour te laisser bouger, je sens l’invité à travers toi…bien peu de choses nous sépare : la fine paroi de caoutchouc du préservatif et la fine paroi de chair entre ton vagin et ton rectum. Il remonte son bassin pour s’enfoncer à nouveau et quand il repart en arrière je plonge plus profond dans ton cul. Tu es une vraie perle, enfilée par les deux trous ! Ma bouche parcourt ton épaule, alternant baisers et morsures, jusqu’à ton oreille, où elle te susurre les mots crus, brûlants, que nous aimons...Tu t’exclames :

— C’est bon ! C’est trop bon !

Et tu t’abandonnes à un de ces orgasmes violents et bruyants que je connais si bien chez toi. Il fait tant d’effet à l’invité qu’il en jouit lui aussi. Je me laisse aller à mon tour, mon bassin frappe plus fort contre ton dos, ta croupe, et mon plaisir fuse dans tes entrailles…

L’invité repartira ravi de ces moments avec nous. Il était le bienvenu et a eu ce qu’il pouvait avoir…Mais le jeu à trois n’était qu’une facette de notre bonheur à deux, un piment entre toi et moi. La prochaine fois, ce sera peut-être une invitée ?

Ma douce salope, je t’aime…

caer_bas


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Commentaires
C
lien ajouté ...
I
Pour quoi je passe, m'enfin !! rire. Suis pas un bourreau hein... Quoi que... Bises à vous deux !
D
Merci de tes mots!<br /> Je parlais de ton com à Caer cet aprés-midi, elle me disais avec justesse que si tu étais l'invitée, je ne sais pas si je tiendrais le coup avec deux comme vous! Ouf!*<br /> <br /> Tu parlais de la mort par épectase un jour, non?
D
Voila, lien rajouté!
I
Occupée que j'étais au déménagement de mon blog... Le moins que l'on puisse dire, c'est que ça décoiffe, le matin au saut du lit !<br /> <br /> J'aime beaucoup ce texte, dont on ne démêle pas la part fantasme de la réalité. Et après tout, on n'a même pas envie de savoir... Reste le désir, le plaisir, et l'amour que vous avez l'un pour l'autre qui sublime tout cela. Dommage que je sois si loin, je ferais bien l'invitée. Sourire.
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